Conseil Professionnel de la Radiologie française
Gestion Administrative de Malade
Gestion Administrative du Patient
Groupement de coopération sanitaire (statut juridique)
Gestion électronique et informatique des documents
Au sein des dispositifs de coordination MAIA, le gestionnaire de cas est le référent des situations complexes pour les personnes âgées, l’interlocuteur direct de la personne, du médecin traitant, des professionnels intervenant à domicile, …
Groupement Hospitalier de Territoire
Groupement d’intérêt économique
Groupement d’Intérêt Public. cf. définition
Global Positionning System (positionnement par satellite)
Groupement Régional Appui au développement e-santé. cf. définition
Le groupement d’intérêt public est une personne morale de droit public dotée de l’autonomie administrative et financière. Il est constitué par convention approuvée par l’Etat soit entre plusieurs personnes morales de droit public, soit entre l’une ou plusieurs d’entre elles et une ou plusieurs personnes morales de droit privé. Ces personnes y exercent ensemble des activités d’intérêt général à but non lucratif, en mettant en commun les moyens nécessaires à leur exercice.
Le groupement régional d’appui (GRADeS) est l’opérateur préférentiel de l’ARS pour l’élaboration et la mise en œuvre de la stratégie régionale d’e-santé, dans une logique d’engagements réciproques. Il bénéficie d’autonomie de gestion et d’action, dans un cadre de contractualisation pluriannuelle avec l’ARS. (10 janvier 2017 Instruction relative à l’organisation à déployer pour la mise en œuvre de la stratégie d’e-santé en région)
Groupe de Travail
Garantie de Temps de Résolution Délai maximal dans lequel un incident doit être résolu. Ce délai ne prend pas en compte la GTI.
Le secteur est riche en acronymes et on peut facilement être perdu ! Santé numérique, e-santé, santé connectée, santé mobile, télésanté, IoT, SONS, MES, GRADeS, MSS, MIE,… Qu’est-ce que ça veut dire ? Consultez le glossaire pour comprendre les mots et les acronymes utilisés.
La e-santé et la santé numérique pour l’OMS
Il existe plusieurs définitions de la e-santé, l’important étant qu’il s’agit de l’utilisation des nouvelles technologies dans le domaine de la santé, au service des professionnels et des usagers.
Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’e-santé se définit comme « les services du numérique au service du bien-être de la personne », avec « l’utilisation des outils de production, de transmission, de gestion et de partage d’informations numérisées au bénéfice des pratiques tant médicales que médico-sociales ». La définition par l’OMS de la santé numérique est plus large. C’est » le domaine des connaissances et des pratiques associées au développement et à l’utilisation des technologies numériques pour améliorer la santé. La santé numérique élargit le concept de cybersanté pour inclure les consommateurs numériques, avec éventail plus large d’appareils intelligents et de matériels connectés. Il englobe également d’autres utilisations des technologies numériques pour la santé, comme l’Internet des objets, l’intelligence artificielle, les mégadonnées et la robotique ».
La santé et les soins numériques pour l’Union Européenne
La santé et les soins numériques désignent les outils et les services qui utilisent les technologies de l’information et de la communication (TIC) pour améliorer la prévention, le diagnostic, le traitement, la surveillance et la gestion de problèmes liés à la santé et gérer les modes de vie ayant une incidence sur la santé. La santé et les soins numériques sont innovants et peuvent améliorer l’accès aux soins et leur qualité et renforcer l’efficacité globale du secteur de la santé.
Ce que recouvre la santé numérique
La notion de santé numérique inclut tout un ensemble de domaines dont :
- les systèmes d’information pour les professionnels de santé et les hôpitaux
- les dossiers de santé électroniques et les normes qui sous-tendent l’échange de données ;
- les applications mobiles de santé pour le suivi et la prévention (ou m-santé) ;
- la prescription électronique
- les portails de santé publique qui garantissent un accès transparent aux dossiers de santé des individus et à leurs contacts avec le système de santé ;
- la télémédecine et les services associés (téléconsultation, téléexpertise, télésoin, télésurveillance…)
- la prestation de soins intégrés ;
- les outils d’aide à la décision clinique dans les soins primaires ;
- la robotique ;
- la médecine personnalisée ;
- les nanotechnologies ;
- l’intelligence artificielle…